Sortie le 19 octobre 2017 

Vous avez peut-être comme moi, dévoré les albums d'Astérix dans votre enfance, et peut-être même au-delà. Cela fera bientôt 60 ans que les irréductibles Gaulois résistent encore et toujours à ce vieux Jules, pour notre plus grand plaisir. 36 albums au compteur... et ce n'est pas fini ! 

Car voilà que s'annonce, d'ici à peine quelques jours, le 37e volume de leurs aventures, signé pour la troisième fois par le duo Jean-Yves Ferri au scénario et Didier Conrad au dessin. Une sortie attendue avec impatience, si l'on en juge par le nombre de journalistes et blogueurs se pressant à la conférence de presse de présentation. L'occasion d'échanger avec les auteurs,  le temps de quelques révélations, mais également de quelques surprises ! 

Cette fois-ci, les pas de nos héros gaulois - ou plutôt les roues de leur char - vont les mener sur les routes d'Italie, car ils vont participer à la Transitalique, une prestigieuse compétition internationale inventée pour l'occasion. 

Astérix, Obélix et Idéfix vont donc quitter leur village pour se mesurer, sur les routes romaines, à des concurrents des quatre coins du monde connu, venus de régions fédérées par la Pax Romana, mais aussi de territoires barbares. On y retrouvera donc les caricatures familières de ces peuples, mais également l'humour habituel de la série : anachronismes et calembours seront bien de la partie !

Mais LA grande révélation de cette conférence de presse, c'était sans nul doute celle du méchant de cet épisode. Un adversaire que les auteurs ont voulu redoutable et mystérieux, un poil ironique :  Coronavirus,  l'aurige - conducteur de char - romain, qui concourt masqué pour protéger son anonymat. 

Mais qui se cache donc sous le masque de Coronavirus ? Un mystère que les auteurs se sont bien gardé de nous révéler, et qu'il faudra attendre la sortie de l'album pour découvrir enfin, ou du moins c'est ce qu'on espère !  

Coronavirus qui nous a d'ailleurs fait l'honneur de sa présence, tout comme Astérix et Obélix, accueillis comme il se doit par le crépitement des flashes, le temps d'une séance photo avec Jean-Yves Ferri et Didier Conrad. 

Et parce que ce n'est pas tous les jours que l'on retombe en enfance... j'en ai profité aussi ! 

Bref, si comme moi vous êtes impatients de découvrir ce nouvel album, rassurez-vous, il ne vous reste plus que quelques jours à attendre : rendez-vous donc le 19 octobre pour profiter de cette aventure en intégralité ! 

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